NOTRE-DAME TRAHIE : LE SCANDALE DES VITRAUX HISTORIQUES SACRIFIÉS AU NOM DE LA MODERNITÉ | GPTV
Description
Le 21 décembre 2024, Mike Borowski vous donnait rendez-vous pour analyser le scandale du remplacement des vitraux de Notre Dame, sur Géopolitique Profonde.
Les vitraux historiques de Notre-Dame sacrifiés : un saccage du patrimoine orchestré par l’élite
En 2019, l’incendie de Notre-Dame de Paris bouleverse le monde. Si toiture et flèche s’effondrent, les vitraux médiévaux échappent aux flammes. Pourtant, ces chefs-d’œuvre, classés monuments historiques, seront remplacés. Claire Tabouret, artiste progressiste basée aux États-Unis, a été choisie par l’archevêché et validée par l’Élysée pour réinventer ces trésors. Cette décision, imposée sans consultation publique malgré une pétition, suscite une indignation légitime : que deviendront les vitraux originaux ? Pourquoi ce mépris pour l’histoire de France ?
Une destruction volontaire de notre patrimoine
Les vitraux, conçus entre le XIIIe et le XIXe siècle, témoignent d’un savoir-faire unique, alliant symbolisme religieux et artisanat d’excellence. Épargnés par l’incendie, ils ne seront pourtant ni restaurés ni réinstallés. À leur place, Claire Tabouret créera des œuvres contemporaines, alignées avec une vision progressiste de l’art. Diplômée de la Cooper Union de New York, Tabouret, connue pour ses peintures de migrants et symboles occultes, incarne une idéologie étrangère aux racines spirituelles et esthétiques de Notre-Dame. Peut-on confier cette cathédrale médiévale à une vision artistique détachée de son essence ?
Une décision opaque
Ce bouleversement a été décidé par un cercle restreint. L’archevêché et l’Élysée, incarné par Emmanuel Macron, ont tranché sans consulter les fidèles ni les citoyens. Le patrimoine national devient le jouet d’une élite. Dès 2019, Macron promet une reconstruction en cinq ans, mais insiste sur une « vision moderne », confirmée par l’archevêché, plus soucieux d’une réforme culturelle que de préserver les traditions catholiques.
Une protestantisation du catholicisme français ?
Claire Tabouret explore aussi des thèmes ésotériques comme le tarot, inspirés de Pamela Colman Smith, occultiste du XXe siècle. Ces symboles éloignés de la théologie chrétienne pourraient refléter une tentative de désacralisation de l’Église, déjà affaiblie par des scandales et un déclin de la pratique religieuse. Derrière ce choix, on voit l’influence anglo-saxonne visant à transformer le catholicisme français en une version universelle. Notre-Dame devient un laboratoire idéologique, sous prétexte d’ouverture et de modernité.
Où iront les vitraux originaux ?
Leur avenir reste flou. Entreposés dans des caves ? Dispersés dans des musées ? Vendus aux enchères pour financer d’autres projets ? Ce silence alimente l’inquiétude : après la destruction physique de la flèche, assistons-nous à une destruction symbolique orchestrée ? Cette tendance s’inscrit dans une politique où des lieux historiques sont rénovés au mépris du passé.
Un effacement de l’histoire collective
Ce projet dépasse l’art : il incarne une politique d’effacement des repères historiques et spirituels de la France. Alors que des millions visitent Notre-Dame pour son authenticité, cette refonte semble conçue pour plaire à une minorité élitiste.
Les Français sont dépossédés de leur patrimoine, tout comme ils l’ont été dans d’autres débats sociétaux récents.